Le réflexe du bras en kiné quantique et son lien avec la conscience profonde.

Le réflexe kinésiologique du bras, apparu chez les mammifères dans un cadre évolutif, constitue une clé essentielle en Kinésiologie Quantique. Ce réflexe neuromusculaire particulier, enraciné dans la conscience profonde, agit en tant que pont entre l’intention, le cerveau, et la réponse corporelle. Contrairement aux autres réflexes purement mécaniques, celui-ci émerge de la conscience elle-même. Lorsqu’une demande est formulée avec intention, un allongement du membre concerné – bras ou jambe – survient, révélant ainsi une communication directe entre le corps physique et le soi profond. Ce lien intime avec le « soi » (que nous différencions ici du « moi », le mental), n’a été formellement documenté qu’à partir des années 1960.

Fait intrigant, avant cette période, aucune mention écrite ni orale de ce phénomène n'existe, ce qui reste un mystère. Certains théoriciens avancent l’idée qu’un processus évolutif s’est accéléré au sein de la population humaine, permettant à la majorité d’individus d’acquérir cette capacité à partir des années 2020. Selon cette hypothèse, cette aptitude pourrait représenter une évolution récente destinée à élever le niveau de conscience collective de l’humanité. Le réflexe du bras, en tant qu'outil de dialogue entre l’individu et son soi profond, ouvre ainsi la voie à une meilleure compréhension de soi et une perception élargie de l'univers.

Le test musculaire associé à ce réflexe est souvent pratiqué sur les membres supérieurs (bras) ou inférieurs (jambes). Chez une personne en état de repos normal, ces membres sont de longueur égale. Le thérapeute, ou la personne elle-même, pose mentalement une question au « soi ». En réponse, si les conditions sont propices, l’un des membres s’allonge de quelques centimètres. Ce prolongement persiste jusqu’à ce que la personne demande son retour à la normale ou jusqu’à un oubli progressif de la question posée. Ce dialogue corporel fonctionne selon un principe binaire simple : l’allongement du membre indique une réponse affirmative, tandis que son absence indique une réponse négative.

Pour initier ce dialogue, il est conseillé de poser des questions simples, telles que la confirmation de son prénom ou de son année de naissance. Progressivement, on peut aborder des questions liées à des choix de vie, comme les habitudes alimentaires ou l’usage de compléments nutritionnels. Il est possible d’interroger également sur les quantités ou dosages appropriés. Cependant, il est crucial de garder à l'esprit que le « soi » répond toujours en fonction de l’instant présent et de ce que l’individu est prêt à entendre et assimiler à ce moment précis. Ainsi, ce processus exige de la prudence et une profonde humilité, car il s’agit d’un apprentissage progressif. Il permet d’établir un dialogue intérieur qui peut, avec le temps, mener à une compréhension inédite de soi-même et de l’univers environnant.

L'exploration de ce réflexe permet également de renforcer l’intuition, ce sens si précieux dans notre cheminement de vie. Cependant, en raison de la complexité des réponses obtenues, il est recommandé de se faire accompagner par un professionnel qualifié. Celui-ci pourra guider l’interprétation des réponses, prévenir les erreurs d'interprétation ou les désillusions. L’univers possède un plan pour chacun de nous, et notre rôle, si nous restons attentifs et conscients, est de collaborer à ce plan avec sagesse et discernement. Cette approche nous conduira vers une existence plus harmonieuse, imprégnée de joie et d’amour.

En somme, le réflexe kinésiologique, au-delà de ses applications thérapeutiques, offre un chemin vers une expansion de la conscience. Il nous permet de dialoguer avec notre être profond, de mieux comprendre notre place dans l’univers, et d’harmoniser notre parcours avec la conscience universelle.